Cappuccino
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Par empilements successifs de gobelets de cappuccino, chaque joueur tente de prendre le contrôle des plus hautes piles de gobelets de l'aire de jeu. Une aire de jeu qui diminue petit à petit à chaque nouvel empilement.
Un jeu de Charles Chevallier,
édité par Matagot (2013)
| Disponibilité: | Plus disponible à la vente |
Superbe matériel de jeu
Cappuccino est un jeu de réflexion très simple à expliquer et rapide à jouer.
Un très joli coffret de jeu - Petite coïncidence amusante, Matagot aime le "couleur café" cette année, puisque le jeu Origin propose lui aussi des pions en déclinaisons de bruns (en évoquant les couleurs humaines).
Ce qui fait une première bonne impression, c'est la présentation du jeu. Un très joli travail de l'éditeur Matagot, qui présente le jeu comme un coffret de capsules de Nespresso. Le jeu s'ouvre en coffret, avec une fermeture magnétique. A l'intérieur de la boîte, on trouve 4 compartiments qui accueillent les 4 couleurs de gobelets.
Le principe du jeu - Le principe est ultra-simple. Avant de jouer, les joueurs sortent les gobelets du coffret, et les disposent sur la tables aléatoirement, tous retournés, et tous collés les uns aux autres pour former une surface plus ou moins régulière. Dans une variante avancée, les joueurs pourront constuire la surface de jeu, après avoir choisi leur couleur, en posant un gobelet à la fois chacun son tour. La partie peut commencer.
On joue chacun son tour. Quand vient mon tour de jeu, je dois prendre une pile de gobelets et l'empiler sur une pile voisine. Au départ, il n'y a que des piles de 1 gobelet, mais petit à petit, les piles vont grandir, tandis que l'aire de jeu va se réduire. Pour réaliser cet empilement, je dois respecter deux conditions:
- La première pile doit être sous mon contrôle, c'est-à-dire que le gobelet supérieur de la pile doit être à ma couleur.
- La première pile doit avoir une hauteur supérieure ou égale à la pile recouverte.
Et voilà, c'est tout! Au cours de la partie, la surface de jeu va se réduire et se morceler en îlots dont chacun tente de prendre le contrôle. La partie se termine quand plus aucun joueur ne peut réaliser de nouvel empilement.
L'avis de NIM - Je suis un grand amateur de jeux de contrôle de territoire en général, et donc dans le coeur de la cible de Cappuccino. Dans cette famille de jeux, l'utilisation de l'empilement a déjà été souvent utilisés, comme par exemple DVONN, Splits, Button Up!, Avalam, ou Sarena.
L'exemple de Splits est intéressant, parce qu'il est un anti Cappuccino: dans Cappuccino on empile et on concentre les gobelets, alors que dans Splits on dépile et on étale les pions. Par contre, ils ont un grand point commun qui leur vaut le "coup de coeur" que je leur ai attribué, c'est qu'ils ont chacun poussé leur mécanisme jusqu'à son extrême simplicité. C'est un exercice de style pour lequel j'ai beaucoup d'admiration, que de réaliser un jeu à la fois riche et simple.
C'est donc pour tout celà que j'ai attribué une belle note à Cappuccino: pour sa beauté, sa richesse et sa simplicité.
Les raisons d'aimer
- Superbe matériel de jeu
- Richesse et simplicité
- Très accessible à tout type de public, enfant ou adulte
On pourra reprocher
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Je veux pas être méchant mais..
La présentation du jeu est impeccable. Les videos du jeux donne le goût de s'essayer. Mais je vais confirmer ce que j'ai déjà lu, si vous n'aimez pas le jeu HEY ! THAT'S MY FISH, vous n'aimerez sans doute pas Cappuccino. Malgré certaines stratégies possible, on est 4 personnes chez moi, à avoir trouvé le jeu terriblement banal et sans intérêt. Simplicité ? oui absolument. Beaucoup trop, même.
Nombre de parties: quelques parties jouées (2-5)
Consultez les 4 photos de reportage de "Cappuccino". CLIQUEZ ICI.
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