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Mystère à l'abbaye: les photos reportages

Une table en pleine réflexion. Normal, les joueurs mènent l'enquête, car un crime a été commis la nuit dernière dans l'abbaye: c'est ainsi que commence Mystère à l'abbaye. Les joueurs déambulent dans les salles de l'abbaye, conduisent des interrogatoires des autres joueurs, découvrent des secrets dans l'abbaye, et se rassemblent au rythme des messes qui ponctuent la journée. On le voit, Mystère à l'abbaye vous plonge dans une atmosphère digne du "Nom de la Rose", le célèbre roman d'Umberto Eco (et du formidable film qui en a été tiré).

Une nouvelle enquête avec Mystère à l'abbaye. 24 suspects, 1 coupable, une enquête et des interrogatoires qui doivent vous permettre d'éliminer les innocents par déduction. Le déroulement du jeu rappelle avec plaisir l'ambiance du roman du "Nom de la Rose".

Ambiance du roman "Le Nom de la Rose" avec le jeu Mystère à l'abbaye. Enquête et déduction pour retrouver un coupable parmi les 24 moines de l'abbaye, en une journée d'enquête ponctuée par les messes.

Mystère à l'abbaye rencontre beaucoup de succès dans les soirées Jeux de NIM. Ce que les joueurs apprécient surtout, c'est la force du thème qui immerge les joueurs dans l'ambiance d'une enquête policière, comme dans le roman du "Nom de la Rose".

Il plonge les joueurs dans une ambiance mystérieuse du "Nom de la Rose": Mystère à l'abbaye est un jeu d'enquête, de déduction, d'ambiance et d'un peu de chance. Il repose un astucieux principe d'interrogatoire, pas facile à maîtriser au départ, mais qui donne envie d'être maîtrisé!

Les jeux de société d'enquête et de déduction sont rares. Tout le monde connaît le classique "Cluedo" qui a bercé notre enfance (enfin, je parle pour moi, il plait certainement encore aujourd'hui à beaucoup de joueurs).

Mystère à l'abbaye est pour moi une version qui porte très loin la sophistication de ce type de jeu, et c'est pour ça qu'il garde le coup de cœur que je lui attribue depuis longtemps.

Tout d'abord, dans ce genre de jeu, l'atmosphère est indispensable. Ici, Bruno Faidutti et Serge Laget ont réussi haut la main à coller l'ambiance du jeu à l'esprit du célèbre roman du "Nom de la Rose" d'Umberto Eco.

L'enquête elle-même est la perle du jeu, simple et originale: elle part du principe que vous devez poser les questions à haute voix et en recevoir la réponse aussi à haute voix. Au départ, on se demande comment progresser si tous les joueurs entendent les mêmes questions-réponses. C'est pour cela que je donne toujours quelques conseils aux joueurs qui découvrent le jeu pour qu'ils puissent l'apprécier à sa juste valeur.

J'ai eu beaucoup de plaisir à constater l'accueil enthousiaste du jeu ce soir.



La collection Days of Wonder tourne bien ce soir, avec ici Mystère à l'abbaye, encore un jeu de Bruno Faidutti (après le Citadelles que nous avons vu plus haut), un jeu d'enquête et de déduction dont le thème nous plonge dans l'atmosphère du roman du Nom de la Rose. L'art de l'interrogatoire y est poussé très loin, car le but est de poser des questions et en recevoir les réponses à haute voix, en espérant en tirer plus d'enseignement que les adversaires. C'est complexe, souvent difficile lors d'une première partie, mais le jeu est très fin et l'immersion dans le thème est excellente.

Une partie à 4 joueurs, avec Antoine, Béatrice, Jorge et Corine.

Pendant ce temps, Carine explique Mystère à l'abbaye, un jeu d'enquête et de déduction qui vous plonge dans l'atmosphère du roman "Le Nom de la Rose". La mécanique du jeu est très bien intégrée au thème, mais nécessite un peu de pratique pour maîtriser l'art de l'interrogatoire.

Une partie à 4 joueurs, parmi lesquels Sylvie et Sabrina.

Je suis content de voir démarrer une nouvelle partie de Mystère à l'abbaye, même s'il est assez long à expliquer. J'aime beaucoup ce jeu, bien que les joueurs aient souvent des difficultés à vraiment l'apprécier lors de la première partie. C'est un jeu d'enquête, où il faut retrouver un moine coupable parmi vingt-quatre moines suspects. Les vingt-trois cartes de moines innocents sont entre les mains des joueurs. En menant de bons interrogatoires, les joueurs doivent parvenir à deviner le contenu de la main de leurs adversaires pour être les plus rapides à éliminer les innocents. La difficulté, c'est que les questions et réponses sont exprimées à voix haute, et qu'il faut donc trouver les bonnes questions dont les réponses vous donnent plus d'informations qu'à vos adversaires. Avec la pratique, on y arrive, mais ce n'est pas facile lors de la première partie.

Une partie à 6 joueurs, avec Rino, Fabienne, Vincent, Valérie, Valérie, Raphael.



Une autre photo de la même table jouant à Mystère à l'abbaye.

Une enquête avec Mystère à l'abbaye, sur un thème qui fait immanquablement penser au roman du "Nom de la Rose". Une règle sophistiquée mais logique, qui s'intègre totalement à l'ambiance monastique et au climat de l'enquête. Des interrogatoires menés à haute voix, qui obligent à poser des questions qui vous informent sans trop aider les autres. L'exercice est difficile mais, lorsqu'il est bien mené, donne un ambiance jouissive de compétition. Comme beaucoup de jeux de Bruno Faidutti, une pincée de chaos viendra aider ou perturber votre enquête, grâce ou à cause des découvertes du scriptorium ou de la très secrète bibliothèque.

Le matériel est superbe, le jeu est intelligent et très ancré à son thème, c'est une grande réussite de Bruno Faidutti, et un bien bel habillage par l'éditeur Days of Wonder.



La joyeuse troupe que vous voyez en photo s'agrandit un peu à chaque soirée. J'apprécie l'ambiance et la bonne humeur au beau fixe qui y règne. Ils démarrent ici un jeu que j'aime beaucoup, tant au niveau de la mécanique que de l'atmosphère: c'est Mystère à l'abbaye, un jeu de Bruno Faidutti.

Mystère à l'abbaye est un jeu d'enquête, que l'on associe souvent au Cluedo, parce que la progression se fait par élimination de suspects pour finalement trouver l'intrus (le coupable). Le jeu possède un mécanisme d'interrogatoire à la fois simple et subtil.

Il y a une qualité dans Mystère à l'abbaye qui fait l'unanimité, c'est la qualité de l'atmosphère, et la parfaite intégration de la règle du jeu à l'esprit du roman (et du film) "Le Nom de la Rose".



La partie de Mystère à l'abbaye se poursuit à l'intérieur, car la nuit tombe à l'extérieur.

Et voici la première nouveauté de la soirée, Mystère à l'abbaye, qui a fait beaucoup parler de lui. Il s'agit d'un jeu d'enquête, lointain successeur du classique Cluedo, qui invite des moines à parcourir une abbaye à la recherche du coupable d'un meurtre parmi 24 suspects. Les enquêteurs fouillent les cellules, se rendent au parloir ou au confessionnal, déchiffrent les livres du scriptorium ou de la bibliothèque, interrogent, révèlent ou accusent. Les messes ponctuent la partie, au cours desquelles les joueurs se retrouvent à l'église et doivent s'échanger des cartes de suspects. Lorsqu'ils se rencontrent, les enquêteurs peuvent s'interroger mutuellement et publiquement (par exemple: "Combien de pères franciscains possèdes-tu en main?" ou "Combien de frères bénédictins as-tu rayé de ta liste des suspects?").

Les 5 joueurs sur la photo ne connaissaient pas le jeu auparavant. J'ai expliqué le jeu, en soulignant l'importance de la pertinence des questions lors des interrogatoires, ainsi que l'importance d'une prise de note correcte (par exemple, marquer distinctement les cartes suspects réellement reçues de celles "déduites", marquer les cartes échangées lors des messes).

Les joueurs ont été déçus de la partie, qui a duré 3 heures. Avec la frustration d'avoir trouvé le coupable tous ensemble, et de voir la victoire raflée sur un coup de bol: ce fût le premier qui atteignit la salle des chapitres (où se font les accusations) qui l'emporta. Un sentiment que les cartes qui tournent lors des messes sèment le chaos et réduisent les prises de notes à néant.



Voici une autre table jouant à Mystère à l'abbaye, cette fois à 6 joueurs. Toute la table découvrait le jeu, entourée d'adultes et enfants prêts à mener l'enquête dans la bonne humeur. La partie a aussi duré 3 heures, avec probablement les mêmes difficultés d'interrogatoires. Le bilan est enthousiaste. Tant les adultes que les enfants ont aimé le thème, l'ambiance et la mécanique du jeu.

Les participants sont arrivés séparément et se sont réunis autour d'un jeu. C'est clairement un avantage des soirées: réunir des personnes d'horizons différents, faire découvrir de nouveaux jeux, créer un lien et un moment de bonne humeur ludique. Je le répète, mais c'est un peu ce qui construit notre motivation à organiser ces soirées.

Mon fiston Maxime (8 ans) a participé au 3 heures d'enquête avant d'enfiler des parties de Condottiere jusqu'à une heure du matin. Si ce n'est pas de la graine de joueur!