Game Over Deluxe
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Chaque joueur incarne un petit barbare à la recherche de sa princesse perdue. Il doit courageusement parcourir un donjon peuplé de blorks (monstres), trouver la clé de la prison de la belle et la libérer.
Un jeu de Jérémy Peytevin,
illustré par Midam,
édité par La Haute Roche (2017)
| Prix: | 20.00 € |
| Disponibilité: | Actuellement indisponible |
Game Over Deluxe est une version grand format du jeu Game Over: rien n'est changé si ce n'est la taille et le matériel. Tiré de la BD Kid Paddle, Midam (auteur de la saga de BD) est aussi l'illustrateur de ce jeu. Autant dire que les cartes grand format ne lui font que mieux justice!
De plus, les cartes sont désormais devenues de belles tuiles cartonnées bien épaisses. Les acharnés de Game Over trouveront donc dans cette boîte un matériel bien plus robuste que celui originel!
Principe du jeu - Petit rappel des règles: tous les tuiles sont posées face cachées en milieu de table pour former un labyrinthe carré. Le but est, lors d'un même tour, de retrouver sa princesse (enfermée dans une cage, comme c'est romantique...) ainsi qu'une clé pour la délivrer.
Le problème est que le labyrinthe est truffé de blorks, monstres aussi violents que stupides. Pour passer outre un blork (et ne pas se faire ratatiner sur place), il faut être équipé de le bonne arme.
Chaque jour explore à son tour le labyrinthe. Avant de retourner un tuile et de découvrir son contenu, il doit choisir une des 4 armes disponibles. S'il tombe sur une princesse, une clé ou un blork qu'il peut vaincre avec son arme, il continue son expédition et recommence le même processus pour la carte suivante (choix d'une arme, révélation, affrontement). S'il tombe sur un blork qu'il ne peut combattre avec son arme ou même un blork invincible, il se fait écraser de la plus rude des manières, retourne fissa à son entrée du labyrinthe et toutes les cartes révélées sont remises face cachées. C'est au suivant.
Dès qu'un joueur parvient à faire apparaître la cage de la princesse et la clé à sa couleur, il gagne la partie.
Les raisons d'aimer
- La robustesse du matériel. De belles tuiles épaisses qui connaîtront surement beaucoup d'hivers.
- Les illustrations de Midam: l'univers ne pouvait être mieux rendu que par son créateur...
On pourra reprocher
- Les coups de bol qui écourtent vachement les parties (bien que déjà pas très longues). Au pire, vous en refaites une!
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Moi qui ne suis pas fan de memory, celui-ci tient particulièrement bien la route année après année.
Sans doute l'univers mais également la belle interaction présente y sont-elles pour quelque chose
Nombre de parties: énormément de parties jouées (plus de 20)
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